SEO vs. GEO- l’étude des chatbots dans l’amélioration du parcours client

Par shneweisaline
3 novembre 2025 · 1 vues
Partager cet article

SEO : les bases de la visibilité Web

Le SEO demeure l’un des moyens « gratuits » les plus performants pour améliorer la notoriété, le trafic et potentiellement les conversions d’un site web. Ce n’est pas surprenant lorsqu’on considère que plus de 6 300 recherches par seconde sont effectuées sur Google et que 70 % des utilisateurs ne se rendent jamais à la deuxième page des résultats. Cette réalité illustre l’importance d’apparaître dans les premiers résultats afin d’augmenter sa visibilité et de capter l’attention des consommateurs.

Si l’on souhaite se démarquer dans une industrie particulière, l’optimisation du SEO devient essentielle. Cette logique s’applique à la majorité des modèles d’affaires. Même les entreprises de type SaaS, dont le produit ou service principal ne se trouve pas directement sur un site web, profiteraient de la notoriété ou du trafic généré par une recherche effectuée par le consommateur lors de l’étape d’Awareness dans son parcours d’achat. Google, moteur de recherche dominant avec 91 % des recherches effectuées sur sa plateforme, reste le réflexe premier pour obtenir de l’information. Bien que d’autres canaux comme le bouche-à-oreille, la recherche en bibliothèque ou la documentation papier existent, Google demeure le moyen le plus accessible et le plus rapide pour trouver des réponses.

Ainsi, le parcours client typique − Attention, Intérêt, Désir, Conversion, Rétention et Réengagement − est directement ou indirectement influencé par une stratégie SEO bien optimisée (J. Ménard, communication personnelle, octobre 2025). À l’étape de l’intérêt comme à celle du désir, la recherche occupe un rôle déterminant. Une augmentation du trafic peut logiquement mener à davantage de conversions. Ensuite, une meilleure rétention ou un meilleur réengagement des clients contribue à son tour à renforcer le SEO, créant ainsi une boucle vertueuse dont les effets se cumulent au fil du temps.

Le SEO peut également aider à optimiser divers objectifs marketing, qu’il s’agisse de développer la notoriété, d’augmenter les conversions web ou d’améliorer le mix marketing grâce aux outils d’analyse intégrés au site. Un trafic plus abondant génère des données plus riches sur la demande, ce qui permet aux gestionnaires de prendre des décisions plus éclairées et d’ajuster leurs actions de manière plus pertinente.

Par conséquent, plusieurs aspects influencent la performance SEO. Quatre grands blocs structurent cette stratégie : l’aspect technique, qui permet aux bots de Google d’accéder facilement au site et d’en comprendre le contenu ; l’aspect éditorial, centré sur la sélection des mots-clés pertinents pour le site et son audience ; les backlinks, provenant d’autres sites web de qualité ; et enfin l’aspect social, lié à l’engagement et à l’expérience de l’utilisateur (J. Ménard, communication personnelle, octobre 2025). Ensemble, ces composantes forment la base d’une stratégie SEO solide, capable de soutenir durablement la croissance et la visibilité d’une marque en ligne.

L’IA et le consommateur : naissance d’une nouvelle ère avec le GEO

De nos jours, une nouvelle stratégie d’optimisation web est en émergence et interpelle de plus en plus les gestionnaires, au même titre que le SEO. Il s’agit du GEO (Generative Engine Optimization). Le GEO est le processus d’optimisation d’un site visant à augmenter les chances que les réponses générées par l’IA dans des LLM comme Google AI Overviews ou ChatGPT mentionnent et/ou renvoient vers son contenu. Alors que le SEO traditionnel vise à rendre le contenu et l’offre d’un site visibles dans les résultats de recherche, le GEO, lui, recommande ces contenus directement à l’utilisateur via une réponse personnalisée et contextualisée (Paruch, 2025). Cette personnalisation accroît le sentiment d’appartenance et la pertinence perçue de la réponse.

L’apparition de l’intelligence artificielle vient donc perturber le comportement habituel des consommateurs. De plus en plus d’entre eux formulent désormais des requêtes de type long-tail. D’ailleurs, il est estimé qu’en 2028, les visiteurs issus de recherches alimentées par l’IA surpasseront ceux provenant des recherches traditionnelles (Handley, 2025a). Avec l’avènement du mode de recherche AI comme option par défaut dans Google Search, cette transition pourrait même survenir beaucoup plus tôt.

De ce fait, plusieurs entreprises et agences amorcent cette transition en tentant d’offrir des solutions dans un domaine encore très peu défini et en constante évolution. Comme le souligne Waldow (2025) dans l’article How brands and retailers are preparing for GEO, “the future of SEO”, certaines startups hésitent à investir dans des stratégies exigeant une mise à jour quotidienne de leurs mots-clés ou de leur balisage, simplement parce que cela demande des ressources considérables et une gestion accrue dans un contexte technologique qui change sans cesse.

En revanche, HKGSEO, une entreprise de cybermarketing basée à Hong Kong, a annoncé en septembre 2025 ses nouveaux services révolutionnaires de double optimisation de moteurs de recherche « SEO + GEO », afin de capter les « opportunités de trafic de prochaine génération ». L’entreprise note que les utilisateurs ne se basent plus uniquement sur des recherches par mots-clés, mais privilégient désormais un langage naturel pour poser leurs questions, s’attendant à recevoir des réponses « immédiates, claires et riches en contexte » (The Arabian Post, 2025).

Selon HKGSEO, même les meilleurs résultats SEO pourraient être classés en dessous des réponses génératives produites par l’IA dans le futur (The Arabian Post, 2025). Notamment, une étude portant sur plus de 10 millions de mots-clés, menée par SEMRUSH, révèle que 13,14 % de toutes les requêtes ont déclenché un AI Overview en mars 2025, comparativement à 6,49 % en janvier 2025, soit presque le double (Paruch, 2025). Si l’on considère en plus l’espace occupé par les stratégies SEA − où les sites remportant les enchères apparaissent en premier − il reste de moins en moins de place pour que les meilleurs résultats organiques soient visibles. La visibilité des sites dépendra donc, dans le futur, non seulement des classements basés sur les mots-clés, mais aussi de la capacité de l’IA à comprendre, faire confiance et vouloir référencer certains sites ou pages.

En outres, une entreprise new-yorkaise de relations publiques, 5WPR, suit également cette tendance en annonçant en octobre 2025 ses services technologiques intégrés. Ceux-ci incluent un accompagnement complet allant de la communication stratégique aux campagnes de relations publiques axées sur le storytelling, en passant par le marketing digital, la création de contenu, le SEO, le PPC, les réseaux sociaux, les partenariats avec des influenceurs et la gestion de la réputation en ligne. Cette offre repose notamment sur les outils propriétaires d’optimisation GEO de 5WPR et sur des stratégies digitales avancées destinées à renforcer la visibilité des marques sur les moteurs de recherche, les plateformes alimentées par l’IA et les canaux sociaux (Bergin, 2025). Ainsi, il existe une opportunité de développer des stratégies GEO non seulement dans le secteur très technique et quasi programmatique de l’optimisation du classement sur les moteurs de recherche, mais aussi dans les domaines du contenu et des communications. L’approche GEO peut donc prendre plusieurs formes et s’appuyer sur divers angles ou expertises en ce début de nouvelle ère.

GEO : bénéfices et subtilités à connaître

Néanmoins, certains craignent que le risque lié à l’adoption d’une stratégie GEO réside dans la possibilité de perdre face à des mises à jour d’algorithmes dont personne ne connaît réellement les mécanismes à ce jour (Waldow, 2025). Cette incertitude pourrait mener à une perte d’audience au profit de consommateurs que l’on peut pourtant rejoindre dès maintenant grâce aux stratégies SEO, des approches éprouvées et évoluées qui représentent encore un comportement de recherche pour 30 à 40 %, par exemple, des consommateurs chez Target en septembre 2025 (Waldow, 2025). D’autres estiment toutefois qu’il serait judicieux d’investir dans le GEO, sans pour autant abandonner complètement sa stratégie SEO au départ. Comme le mentionne Jose Nino, vice-président du digital et de l’e-commerce pour U.S. Polo Assn., avec le GEO, « vous pouvez enchérir autant que vous voulez, mais les réponses de Gemini prennent le dessus, et vous ne savez même pas exactement ce qui déclenche cette réponse. (…) Soudain, quelqu’un contrôle ce récit, et vous ne savez pas encore comment il l’opère. Si quelqu’un prétend savoir exactement ce qui le déclenche, il n’en est pas 100 % sûr » (Waldow, 2025). Alors, le manque de données appuyé par le manque d’expertise et d’expérience liées à l’optimisation du GEO limitent la certitude des gestionnaires à agir.

En revanche, Handley (2025a) supporte l’idée qu’un utilisateur qui opte pour un processus de recherche de type conversationnel et obtient une réponse générative a 4,4 fois plus de chances de se transformer en prospect à potentiel de conversion lors des étapes d’intérêt et de désir que celui qui utilise une recherche par mots-clés dans un moteur de recherche traditionnel (Handley, 2025a). L’avantage d’adopter dès maintenant une stratégie GEO est donc double : prendre une longueur d’avance en commençant à expérimenter tôt, et cibler des consommateurs qui présentent une valeur potentielle 440 % supérieure à ceux provenant des moteurs de recherche classiques.

Effectivement, un tel investissement ne se doit pas absolument d’être fardeau dès le départ. Les stratégies proposées pour améliorer le GEO reposent en grande partie sur une structure similaire à celle des stratégies SEO, à quelques différences près. Ainsi, optimiser sa stratégie SEO constitue une base solide pour amorcer le développement d’une stratégie GEO.

SEO vs GEO : stratégies concrètes et points de divergence

Par conséquent, voici quelques éléments clés communs au SEO et au GEO qui permettent de se mettre sur la bonne voie en matière d’optimisation générative. D’abord, les standards de qualité demeurent essentiels. Google, comme les modèles de langage, cherche à fournir du contenu de haute qualité qui répond véritablement aux besoins et aux préférences des utilisateurs.

Une structuration claire du contenu, notamment grâce à des sections FAQ enrichies de balisage schema (The Arabian Post, 2025), de titres ou encore de listes à puces, facilite l’interprétation, l’extraction et la réutilisation de l’information par les systèmes d’IA (Handley, 2025a) (Paruch, 2025). Cette organisation méthodique permet aux modèles génératifs de comprendre plus efficacement le contenu d’un site et d’y faire référence.

Cependant, il ne faut pas tomber dans le piège consistant à dépendre entièrement de l’IA pour la rédaction ou la correction de son contenu dans l’espoir qu’elle le comprenne mieux, puisqu’elle en serait l’auteur − une idée que certains créatifs pourraient être tentés d’adopter. L’originalité dans les recherches demeure précieuse : les données uniques attirent des backlinks utiles pour le SEO et augmentent les chances de citation pour le GEO. Il faut néanmoins garder à l’esprit que les réponses claires, directes et concises fournies aux utilisateurs performent mieux dans les extraits optimisés et les résumés générés par l’IA (Handley, 2025a) (Paruch, 2025). Il existe donc un équilibre à trouver entre l’adaptation du contenu pour que l’IA reconnaisse des patrons linguistiques familiers et la création d’un contenu original qui enrichit réellement la valeur informationnelle du site.

Parallèlement, le renforcement des signaux d’autorité grâce à des données vérifiées, des études de cas clients et des certifications sectorielles consolide l’E-E-A-T (Experience, Expertise, Authoritativeness, Trustworthiness) (The Arabian Post, 2025). Ces éléments accroissent la crédibilité du site auprès des utilisateurs comme des algorithmes. De plus, la thématisation − c’est-à-dire la publication de groupes de contenus liés et de haute qualité − peut améliorer la visibilité du site à la fois dans les pages de résultats des moteurs de recherche (SERP) et dans les modèles de langage génératifs (Handley, 2025a) (Paruch, 2025).

Enfin, le développement de la réputation de la marque renforce la visibilité par la multiplication des mentions dans les annuaires professionnels, les médias ou divers canaux de diffusion, favorisant ainsi les références par les modèles d’IA (Handley, 2025a). Une architecture technique solide − permettant un crawl efficace, une indexation optimale, une meilleure reconnaissance des contenus multimédias et des performances de chargement élevées − garantit à la fois aux moteurs de recherche et aux bots d’IA un accès facilité à l’ensemble du contenu du site (The Arabian Post, 2025) (Paruch, 2025).

Tous ces éléments permettent donc d’optimiser à la fois le SEO et le GEO. Il existe cependant une différence clé entre ces deux stratégies, qui réside dans les objectifs qui leur sont propres. Comme mentionné précédemment, le but du SEO est d’optimiser l’indexation d’un site web en réponse à une recherche par mots-clés et de permettre à ce site d’apparaître en tête des résultats. La livraison du contenu se fait par le click-through des utilisateurs vers la page du site, ce qui exige un effort de leur part : ils doivent choisir le lien sur lequel ils souhaitent cliquer dans leur recherche d’information, une étape essentielle du parcours d’achat. Les métriques importantes qui en découlent sont donc les clics, le trafic du site, le positionnement et le taux de rebond (Paruch, 2025).

À l’inverse, l’objectif du GEO est d’optimiser la structure et la fiabilité du site pour l’instance d’IA, en réponse à une requête plus conversationnelle, de manière à être recommandé directement à l’utilisateur (Paruch, 2025). Cette recommandation repose sur les caractéristiques (idéalement positives) du produit ou du contenu, afin d’augmenter le désir du consommateur pendant l’étape d’évaluation des alternatives − une étape située juste avant la décision d’achat. Fondamentalement, les stratégies SEO et GEO interviennent donc à des moments différents du processus de prise de décision du consommateur : le SEO influence principalement la recherche d’information, tandis que le GEO peut également jouer un rôle déterminant dans l’évaluation des options disponibles, en effectuant une grande partie de ce travail selon son propre algorithme. L’optimisation de l’une ou l’autre stratégie dépendra ainsi de l’objectif final que l’entreprise souhaite prioriser.

Dans le cadre du SEO, l’entreprise cherchera à optimiser la structure schématique du site par exemple, alors que dans le contexte du GEO, elle privilégiera plutôt la rédaction d’un contenu répondant précisément à des questions spécifiques d’utilisateurs, de manière complète et digne de confiance (Paruch, 2025). Cette distinction peut sembler subtile, mais elle peut avoir un impact significatif sur l’atteinte des objectifs organisationnels.

Par ailleurs, quelques propositions d’optimisation destinées aux LLM existent actuellement visant spécifiquement l’amélioration du GEO. Par exemple, obtenir des mentions de marque sur des sites fortement cités − tels que Quora, Reddit, LinkedIn ou YouTube − permettrait de mieux se positionner dans les réponses génératives produites par l’IA. De plus, certains outils ont été développés pour suivre la performance de ces mentions à travers différents sites, comme AI Visibility Toolkit ou Enterprise AIO. Puis, développer une proposition de valeur unique constitue également un moyen de se différencier de la concurrence, tant dans une perspective stratégique que dans une optique GEO (Handley, 2025b). Ces stratégies peuvent être implementées pour commencer à expérimenter avec le GEO.

De surcroît, comme discuté plus tôt, l’originalité et l’accessibilité du contenu restent des éléments importants pour le GEO; tout comme l’intégration d’images et de vidéos; l’optimisation des passages − c’est-à-dire la capacité à rendre un segment compréhensible sans dépendre d’autres parties du texte −; le ciblage du contenu vers des audiences spécifiques; ou encore la gestion de la réputation en ligne. Toutes ces stratégies sont particulièrement valorisées pour l’optimisation GEO en 2025 (Handley, 2025b). Finalement, des outils complémentaires ont été développés pour suivre la citation du contenu de son site et pour mesurer les retombées de ses efforts marketing au sein des moteurs IA, comme l’outil cloud Zeta (Dow Jones Newswires, 2025).

Perspectives et enjeux à l’ère du SEO et du GEO

En conclusion, l’avènement de l’intelligence artificielle transforme profondément nos modes de consommation en introduisant un langage plus intuitif et familier, proche de notre mode d’expression conversationnel. L’objectif premier de l’IA était de simplifier l’activité de recherche, ce qui est aujourd’hui largement accompli. Désormais, chacun peut formuler une requête dans ses propres mots, que ce soit sur un moteur de recherche ou une interface IA, et obtenir une réponse pertinente sans nécessiter de compétences préalables en recherche par mots-clés. Les ingénieurs de l’IA ont ainsi rendu le processus de recherche beaucoup plus intuitif, ce qui redéfinit entièrement le parcours d’exploration du consommateur.

Women’s hand typing on mobile smartphone, Live Chat Chatting on application Communication Digital Web and social network Concept. Work from home.

Dans ce contexte, le SEO et le GEO émergent comme deux leviers complémentaires, mais ancrés à des étapes distinctes du processus décisionnel. Le SEO demeure fondamental pour optimiser la visibilité d’un site dans les résultats classiques et à forte implication : il repose sur une architecture technique solide, un contenu de qualité, une bonne indexation et la capacité d’attirer du trafic par le clic. Le GEO, quant à lui, ouvre une nouvelle dimension : celle de la recommandation algorithmique au cœur même du processus d’évaluation d’alternatives. Il exige une adaptation plus fine aux logiques de compréhension, d’extraction et de citation des LLM − avec des contenus originaux, fiables, clairement structurés et soutenus par une autorité renforcée, ainsi qu’une présence accrue sur des plateformes reconnues dans l’écosystème IA.

Faut-il pour autant se lancer immédiatement dans l’optimisation GEO ? La réponse n’est pas univoque. Comme pour toute recommandation stratégique, la pertinence dépend du contexte spécifique de l’organisation. Plusieurs facteurs entrent en jeu, notamment le secteur d’activité, les capacités opérationnelles, le modèle économique et les objectifs poursuivis. Par exemple, pour un site de commerce électronique cherchant à améliorer ses conversions, l’optimisation GEO peut représenter une opportunité particulièrement intéressante. À l’inverse, dans un secteur très spécialisé où les clients trouvent déjà facilement l’entreprise via les moteurs de recherche traditionnels, il peut être moins pertinent d’investir immédiatement dans cette optimisation.

De plus, se lancer dans l’expérimentation du GEO sans disposer des ressources nécessaires comporte des risques, notamment celui de compromettre la performance SEO existante. Ces deux leviers, bien que complémentaires, répondent à des objectifs distincts et doivent donc être priorisés avec discernement. La décision d’adopter le GEO doit être envisagée de manière stratégique, en fonction des résultats attendus et de la capacité de l’entreprise à soutenir ces efforts. L’enjeu n’est donc pas de choisir entre SEO et GEO, mais de déterminer comment les mobiliser, parallèlement ou séquentiellement, pour accompagner l’évolution des comportements numériques. À l’heure où la recherche devient conversationnelle et où les IA influencent les recommandations, les entreprises ont tout intérêt à repenser leur stratégie de visibilité en équilibrant rigueur technique, originalité du contenu et confiance algorithmique.

L’avenir appartiendra à celles qui sauront naviguer entre ces deux paradigmes, en s’adaptant avec lucidité et anticipation à un écosystème en pleine transformation.

Bibliographie

Bergin, C. (8 octobre 2025). 5WPR launches integrated tech marketing offering to support fast-growth startups and enterprise brands. PR Newswire. Factiva.

Dow Jones Newswires. (17 septembre 2025). Press release: Zeta announces generative engine optimization solution to help brands lead in the post-search era. Dow Jones Newswires. Factiva.

Handley, R. (21 juillet 2025a). We studied the impact of AI search on SEO traffic. Here’s what we learned. Semrush. https://www.semrush.com/blog/ai-search-seo-traffic-study/

Handley, R. (23 juillet 2025b). LLM Optimization (LLMO): Get AI to Talk About Your Brand. Semrush. (Contributor: C. Skopec). https://www.semrush.com/blog/llm-optimization/

Paruch, Z. (26 septembre 2025). GEO vs. SEO: A comparative guide for digital marketers. SEMrush Holdings Inc. (Contributor: C. Meis). Public Companies News and Documents via PUBT. Factiva.

The Arabian Post. (10 septembre 2025). HKGSEO launches new SEO+GEO optimization service to help businesses seize traffic opportunities in the AI search era. Media Outreach. Factiva.

Waldow, J. (25 septembre 2025). How brands and retailers are preparing for GEO, “the future of SEO”. Digiday. Factiva.

Partager cet article
Par shneweisaline

Laisser le premier commentaire